En Mosquito pour les aventuriers, les vrais, accompagnés de quelques peureux en Tempest.
Parce que voler sans rien faire exploser, c'est bon pour les pacifistes bêlants qui veulent se prendre pour des oiseaux et qui ignorent la poésie du son d'un canon de 20mm et la musicalité quasi mystique de l'allumage d'une roquette HE, cette belle journée d'été est consacrée à l'attaque de navires. Avec ici Erel qui fait coucou aux équipages avant d'attaquer les choses sérieuses.
Les choses sérieuses étant la (re)découverte du skip bombing, également connu sous le nom de "ricochet avec des grosses bombes" (on sait que les militaires sont de grands enfants).
Méthode qui fait ses preuves, dès lors que la bombe ne ricoche pas au-dessus du navire visé (oui, oui, on l'a vu...)
En vrai, il y eu aussi quelques balades sur le retour. Comme près des célèbres falaises de Douvres.
Ainsi qu'au-dessus de la ville de Douvres elle-même et ses jolies fortifications.
Et quelques défis à la con, parce que c'est plus fort que nous. Etretat étant un peu loin, c'est avec cette grue sur le port qu'Erel décide de vérifier si l'envergure de son Mosquito est aussi grande qu'elle en a l'air depuis le cockpit. Bon, ben elle était effectivement assez grande, cette envergure. Enfin, avant le passage sous la grue, en tout cas.
Il reste quelques navire en état de marche, alors tout ce petit monde redécolle. Avec cette fois un hommage à une vieille campagne qui a marqué les esprits et dont les plus décatis d'entre nous se souviennent sûrement.
Enseignement du jour : lors d'un skip bombing, l'apparition d'embruns sur la verrière est indubitablement le signe que la marge de sécurité d'altitude a atteint son point le plus bas.
Exemple d'un pilote de Thunderbolt qui n'a pas tenu compte des embruns sur sa verrière...
Bon, sinon, le P-47 fait le bien le job en skip bombing, rien à dire...
Et avant de rentrer, pourquoi ne pas taquiner une paire de 109 qui flânait au large de Boulogne-sur-Mer, vu que les bandes de mitrailleuses sont pleines ?
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