Non, non...AV_Ghost a écrit :et sinon, tu t'es acheté "Das Boot", au moins?
Peut être le week end prochain 
Kasp
Silent Hunter III
Hier, j'ai fini les examens et fait ma première patrouille.
Aux exams, j'ai tout à "excellent" (du premier coup), sauf un insultant "average" à la torpille... Mais je me vengerai, nom de d'la. J'ai vraiment l'impression que les cibles despawnent au crépuscule dans cette mission. (j'ai vu des navires disparaître d'un coup au moins 2 fois à moins de 1000 mètres de moi, mer plate, beau temps). Et si je fignole à mort mon approche et ma solution pour faire 1 torpille = 1 kill, j'ai pas le temps de les choper tous avant qu'ils disparaissent. J'ai l'impression aussi que l'AI est pas super douée pour calculer les solutions de tir, je sens qu'il va falloir que je le fasse entièrement à la main. Ce qui m'ennuie.
Donc hier, exam "attaque de convoi". 6 ou 7 torpilles de tirées avant que le destroyer ne s'intéresse sérieusement à mon cas. Pas très bien tirées d'ailleurs, car si presque toutes on touché, il n'y a qu'un seul navire que j'ai coulé en 1 coup. M'a fallu 2 ou 3 coups pour la plupart. Partie de cache-cache avec le destroyer, qui m'a finalement trouvé au sonar. Ping... Ping... Ping. Ping. Ping-ping-ping-ping... Bruit d'hélices très fort, une série de "ploufs"... et merde! Grenadage, en plein dessus. J'en ai pris un bon coup, plusieurs avaries (rien qu'une équipe de réparation ne puisse rafistoler), et mes barres de plongée arrière détruites. Quelques minutes de manoeuvres plus tard (j'adore l'ordre "Wahnsinnige Fahrt Voraus" = "vitesse démentielle", ça me fait irrésistiblement penser à "La folle histoire de l'espace". Le traducteur allemand était...créatif!), le destroyer à continué son grenadage ailleurs, de plus en plus loin. Pas très compétents, ces angliches. Retour sur le convoi, approche et tir des torpilles restantes. Les dégâts aux barres de plongée sont bien simulés, j'avais du mal à tenir mon assiette, et la proue qui avait tendance à surfacer en immersion périscopique. Malgré ça, encore des navires endommagés ou coulés. A court de torpilles, il me restait encore 2 navires. De quoi faire un score "average", mais pas "excellent". Du coup j'ai fait surface et je les ai coulés au canon de 88, au nez et à la barbe du destroyer, qui tirait beaucoup, mais comme un pied. Puis évasion et retour base.
Ensuite, démarrage d'une campagne. 1939, 1ère flottille, U-boot type 2A. Départ du quai à Wilhelmshaven, avec une fanfare jouant l'hymne allemand, et les familles qui saluent sur les quais. On sort de la rade, puis début de la nav. Mission: patrouiller le carré AN56, au large de l'Ecosse. Ce qui est très loin pour un petit type 2A... Endurance limitée sur zone, le carré AN56 est pratiquement en limite de rayon d'action. Météo: "Sur Forties, Dogger, Fisher, German: forte houle d'ouest, mer agitée à forte, localement très forte sous grain". Le sous-marin tangue et roule dans les vagues, l'écume monte au dessus du kiosque. Régulièrement, plongées pour écouter. Par un temps pareil, on détecte bien mieux à l'hydrophone. Personne sur l'eau. Arrivée sur zone, pattern de recherche. Au beau milieu de la nuit, un contact éloigné et très faible à l'hydrophone: un cargo. J'essaie de le prendre en chasse, mais au bout de 2 heures, je le perds. J'ai passé les 15 heures suivantes à le chercher, mais je ne l'ai jamais apperçu ni entendu. Limite d'autonomie atteinte, je rentre, bredouille.
Aux exams, j'ai tout à "excellent" (du premier coup), sauf un insultant "average" à la torpille... Mais je me vengerai, nom de d'la. J'ai vraiment l'impression que les cibles despawnent au crépuscule dans cette mission. (j'ai vu des navires disparaître d'un coup au moins 2 fois à moins de 1000 mètres de moi, mer plate, beau temps). Et si je fignole à mort mon approche et ma solution pour faire 1 torpille = 1 kill, j'ai pas le temps de les choper tous avant qu'ils disparaissent. J'ai l'impression aussi que l'AI est pas super douée pour calculer les solutions de tir, je sens qu'il va falloir que je le fasse entièrement à la main. Ce qui m'ennuie.
Donc hier, exam "attaque de convoi". 6 ou 7 torpilles de tirées avant que le destroyer ne s'intéresse sérieusement à mon cas. Pas très bien tirées d'ailleurs, car si presque toutes on touché, il n'y a qu'un seul navire que j'ai coulé en 1 coup. M'a fallu 2 ou 3 coups pour la plupart. Partie de cache-cache avec le destroyer, qui m'a finalement trouvé au sonar. Ping... Ping... Ping. Ping. Ping-ping-ping-ping... Bruit d'hélices très fort, une série de "ploufs"... et merde! Grenadage, en plein dessus. J'en ai pris un bon coup, plusieurs avaries (rien qu'une équipe de réparation ne puisse rafistoler), et mes barres de plongée arrière détruites. Quelques minutes de manoeuvres plus tard (j'adore l'ordre "Wahnsinnige Fahrt Voraus" = "vitesse démentielle", ça me fait irrésistiblement penser à "La folle histoire de l'espace". Le traducteur allemand était...créatif!), le destroyer à continué son grenadage ailleurs, de plus en plus loin. Pas très compétents, ces angliches. Retour sur le convoi, approche et tir des torpilles restantes. Les dégâts aux barres de plongée sont bien simulés, j'avais du mal à tenir mon assiette, et la proue qui avait tendance à surfacer en immersion périscopique. Malgré ça, encore des navires endommagés ou coulés. A court de torpilles, il me restait encore 2 navires. De quoi faire un score "average", mais pas "excellent". Du coup j'ai fait surface et je les ai coulés au canon de 88, au nez et à la barbe du destroyer, qui tirait beaucoup, mais comme un pied. Puis évasion et retour base.
Ensuite, démarrage d'une campagne. 1939, 1ère flottille, U-boot type 2A. Départ du quai à Wilhelmshaven, avec une fanfare jouant l'hymne allemand, et les familles qui saluent sur les quais. On sort de la rade, puis début de la nav. Mission: patrouiller le carré AN56, au large de l'Ecosse. Ce qui est très loin pour un petit type 2A... Endurance limitée sur zone, le carré AN56 est pratiquement en limite de rayon d'action. Météo: "Sur Forties, Dogger, Fisher, German: forte houle d'ouest, mer agitée à forte, localement très forte sous grain". Le sous-marin tangue et roule dans les vagues, l'écume monte au dessus du kiosque. Régulièrement, plongées pour écouter. Par un temps pareil, on détecte bien mieux à l'hydrophone. Personne sur l'eau. Arrivée sur zone, pattern de recherche. Au beau milieu de la nuit, un contact éloigné et très faible à l'hydrophone: un cargo. J'essaie de le prendre en chasse, mais au bout de 2 heures, je le perds. J'ai passé les 15 heures suivantes à le chercher, mais je ne l'ai jamais apperçu ni entendu. Limite d'autonomie atteinte, je rentre, bredouille.
Pour les destroyers, une astuce utile lorsqu'il n'y en a qu'un dans les parages immédiats, c'est de se montrer pour qu'il poursuive le sous marin. Je me mets en frontal, j'attends qu'il soit à 800 m, et je tire une torpille. Je fais un virage moteur à fond lorsqu'il est à 400m, et le destroyer n'a plus le temps d'éviter la torpille. Il y a des risques, mais cela a toujours marché jusqu'à maintenant.
Pour les solutions de tir, je laisse faire l'IA, et ça marche bien quand la situation est quasi parfaite : navire avec un angle pas loin de 90°, qui ne zig zag pas, torpille à la vitesse maximale et détonateur au contact.
Lorsque le navire a repéré le sous marin, je ne tire que lorsqu'il est dans un virage qui fait augmenter l'angle jusqu'à 90°. Un tir sur l'avant du bateau marche bien en frontal, mais c'est moins efficace sinon. Dans les hélices, c'est parfait
mais c'est quitte ou double : un peu plus loin et l'on ne touche plus la coque.
Jusqu'à maintenant, j'ai eu besoin de deux torpilles au but seulement pour les cargo C3 et les tankers... Une fois, j'ai attendu 24h autour du tanker, qui ne voulait pas couler (plus de torpilles)... Et comme la mer était formée, je ne pouvais utiliser le canon. Et il n'a pas coulé cet imbécile !
Inutile de tirer une torpille à moins de 300-400m si elle doit effectuer un virage serré.
Pour le grenadage, il est relativement simple de l'éviter lorsque le fond est important : une fois au fond, on attend que les grenades soient lancés, pour ensuite mettre le moteur à fond, en changeant de cap, pour éviter les grenades. Comme les grenades mettent du temps à arriver, le sous marin s'est normalement bien déplacé par rapport aux grenades. Par contre, si on est touché, il n'y a quasiment aucune chance de faire surface...
Un destroyer tout seul n'est pas très efficace, mais à partir de deux trois destroyers, souvent accompagnés de vedettes lance torpilles, ça commence à chauffer, et c'est très stressant !
Avec le IIA, je ne pousse pas le moteur pour les déplacements... Et en général, j'ai coulé tous mes bateaux à l'extérieur de la zone à patrouiller
Pense a ton beau VIIB qui t'attend, avec 14 torpilles, plus de 15000 km d'autonomie avec 1/3 de puissance, 18 kts en surface....
Kasp
Pour les solutions de tir, je laisse faire l'IA, et ça marche bien quand la situation est quasi parfaite : navire avec un angle pas loin de 90°, qui ne zig zag pas, torpille à la vitesse maximale et détonateur au contact.
Lorsque le navire a repéré le sous marin, je ne tire que lorsqu'il est dans un virage qui fait augmenter l'angle jusqu'à 90°. Un tir sur l'avant du bateau marche bien en frontal, mais c'est moins efficace sinon. Dans les hélices, c'est parfait
mais c'est quitte ou double : un peu plus loin et l'on ne touche plus la coque.Jusqu'à maintenant, j'ai eu besoin de deux torpilles au but seulement pour les cargo C3 et les tankers... Une fois, j'ai attendu 24h autour du tanker, qui ne voulait pas couler (plus de torpilles)... Et comme la mer était formée, je ne pouvais utiliser le canon. Et il n'a pas coulé cet imbécile !
Inutile de tirer une torpille à moins de 300-400m si elle doit effectuer un virage serré.
Pour le grenadage, il est relativement simple de l'éviter lorsque le fond est important : une fois au fond, on attend que les grenades soient lancés, pour ensuite mettre le moteur à fond, en changeant de cap, pour éviter les grenades. Comme les grenades mettent du temps à arriver, le sous marin s'est normalement bien déplacé par rapport aux grenades. Par contre, si on est touché, il n'y a quasiment aucune chance de faire surface...
Un destroyer tout seul n'est pas très efficace, mais à partir de deux trois destroyers, souvent accompagnés de vedettes lance torpilles, ça commence à chauffer, et c'est très stressant !
Avec le IIA, je ne pousse pas le moteur pour les déplacements... Et en général, j'ai coulé tous mes bateaux à l'extérieur de la zone à patrouiller
Pense a ton beau VIIB qui t'attend, avec 14 torpilles, plus de 15000 km d'autonomie avec 1/3 de puissance, 18 kts en surface....
Kasp